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... Championnats de France Epée Cadets - Le creusot 2001.... 

 année 2001

La ville du Creusot est située en Bourgogne dans le département de la Saône-et-Loire (71).


      1- C'est où ?
      2- La ville du CREUSOT
      3- Quelques clefs !
      4- Son histoire
      5- Le Creusot en chiffres
      6-Le symbole de la ville
      7- les liens


Haut - C'est où ? - Bas


Paris 350 km

Dijon 90 km

Chalon sur saône 35 km
Autun 30 km
LE CREUSOT

Montchanin 7 km

Bordeaux 500 km Montceau 20 km Lyon 180 km
Toulouse 700 km

Pour en savoir plus...


Haut - La ville du Creusot - Bas

Proche de l'Autoroute du Soleil, desservi par le TGV qui met Paris à 1H35 et Lyon à 35 mn, Le Creusot en Bourgogne, et la Communauté Urbaine Montceau-Le Creusot offrent plus de 255 ha de Parcs pour flâner, 25 lacs et plans d'eau où se pratiquent la voile, l'aviron, les régates, la baignade, 100 Km de sentiers balisés, VTT, pédestres, équestres, 2 golfs au parcours valonné et une piste de karting, une luge d'été, un train touristique , quelques salles d'armes. après la restructuration des usines, Le Creusot s'est doté d'un nouveau visage avec un pôle universitaire important (le deuxième de Bourgogne) et de nouvelles activités industrielles intégrées ...

Les accès
Paris 319 km. - Par TGV à 1h25 de Paris et 35 mn de Lyon - Par autoroute A 6.

A voir:
Le Château de la Verrerie qui abrite le Musée de l'Homme et de l'Industrie et l'exposition "Le Métal, la Machine et les Hommes". Le Petit Théâtre, le Marteau Pilon de 100 tonnes - Arboretum du Parc du Château - Parc touristique des Combes : train à vapeur et luge d'été, karting...

A noter la présence des usines PRIEUR à Montceau-Les-Mines, à seulement quelques 10 km du Creusot.

Pour en savoir plus...

Haut - Quelques Clefs - Bas

Maire
Secrétaire général
Mairie
Tel
Habitants
   -1990
   -1999
Altitude
Superficie
Equipements
Equipements
Equipements
Hopital
Loisirs
Patrimoine

Tourisme vert

Equipement sportif



André Billardon
Daniel Rabiant
Bd Henri-Paul Schneider-BP 91 71 206 Le Creusot Cédex
03 85 77 59 50
Les Creusotins
29230
26500
353m à la gare, 500m à la Marolle
1806ha 88a 18 c
-Universitaires: I.U.T & Condorcet
-Scolaires: 2 lycées, 4 collèges, 11 primaires, 11 maternelles
-Biblitohèque-discothèque
Hôtel-Dieu avec le site Foch et le site harfleur
train touristique des combes et luge d'été
Château de la Verrerie, siège de l'Eco musée et de l'Académie F.Bourdon
Parc de la Verrerie avec son Arboretum, Circuit VTT des combes
Halle des sports (800 p), stade J.Garnier (7650 p), salle J de Prat, salle d'armes, piste de karting, piscine, tennis couvert, salle de judo, mur d'escalade, salle de lutte, gymnase, salle de musculation, terrain de boules, stand de tir, ball-trap, terrain de base-ball, salle de tir à l'arc.

Pour en savoir plus ...


Haut - Une page d'histoire - Bas


La ville du Creusot a eu son destion lié avec les usines Schneider. Aujourd'hui, la page est tournée et Le creusot, sans renier son passé (comment serait-ce possible ?) s'est construit un nouvel avenir en devenant le deuxième pôle universitaire de la Bourgogone.
    1- Visite rapide (et nécessairement réductrice) dans le temps.
    2- Quelques Anecdotes
    3- Les usines Schneider

l'histoire en dates

1253 Le nom du Crosot apparaît en 1253. Henry de Monestoy vend au duc de Bourgogne, la "villa du Crosot" en fait une métairie.
1502 Découverte d'un gisement houiller aux Riaux  et création d'un premier établissement métallurgique. Exploitation des "Crots", trous de plusieurs mètre, non étayés.
1768 Gabriel Jars, ingénieur lyonnais, met en place le procédé d'obtention du coak à l'usine de Montcenis.
1769 Exploitation industrielle du gisement à partir de la concession accordée par Louis XV à François de la Chaise
1781 Wilkinson (qui a observé la qualité du charbon du Mesvrin), Wendel et Touffaire décident l'implantation d'une fonderie.
1782 Création de la fonderie royale de Montcenis.
1785 Création de la société pour l'exploitation  de la "manufacture des cristaux de la Reine".
1785 Première fonte au coak est coulée au Creusot.
1786 Rachat par la fonderie royale de la concession d'exploitation du gisement houiller.
1786 Transfert de la cristallerie royale (Sèvres), la "Manufacture des cristaux de la Reine", au Creusot.
1789 Réquisition de la fonderie royale au profit de la nation.
1793 Le Creusot devient une commune indépendante du chef-lieu "Le Breuil".
1793 Ouverture du canal du Centre qui permettra le transfert de la production de la fonderie du Creusot.
1798 Sous le Directoire, restitution de l'usine à ses propriétaires. Fabrique d'armes pour le ministère de la guerre.
1815 Arrêt de la production d'armes. L'exploitation se limite à l'extraction de la houille.
1818 Achat des usines par M.Chagot père.
1826 Vente des usines à la société anglaise Manby-Wylson.
1828 Constitution de la SA les "Mines, Forges et Fonderies du Creusot et de Charenton".
1830 Mise en service du premier haut-fourneau (date estimée).
1836 Acquisition d'une usine et de 280 ha de terrain par Adolphe et J-Eugène -maître de Forges à Bazeilles (Ardennes)-  Schneider. Début de la dynastie. Création d'une société en commandites par action "Schneider frères et Cie".
1837 Associés à la banque Seillières, les frères Schneider investissent massivement (plus de un million de francs) dès le début.
1838 Sortie de La Gironde, première locomotive française, symbole d'une réussite fulgurante des usines Schneider.
1838 Création d'une caisse de prévoyance (financement des écoles, accidents du travail, arrêts maladies ...)
1839 Mise en place par Eugène Schneider (inspiré par saint-Simon) d'une politique sociale tournée vers les ouvriers (Eglise, école, ...).
1839 Production du premier bateau pour navigation fluviale.
1840 Production de la première machine pour navire de mer.
1841 L'invention du marteau-pilon à vapeur par M.Bourdon, ingénieur au Creusot, révolutionne le travail de l'acier.
1842 Acquisition des forges de Perreuil.
1842 Adolphe schneider devient député-maire
1845 Adolphe Schneider tombe de cheval et décède.
1845 J-Eugène Schneider est élu député de saône-et-Loire (5e collège).
1851 J-Eugène Schneider est nommé ministre de l'Agriculture et du Commerce.
1853 Production des premières gabarres pour la navigation sur le Rhône.
1855 Acqusition des concessions de Mazenay (1853), Créot et Change (2000 ha) pour approvisioner les hauts-fourneaux.
1855 production du premier pont métallique (Cie Paris-Lyon).
1855 Les usines Schneider fournissent un volume important de matériel pour la Marine durant la guerre de Crimée (17 machines de 450 ch, ...).
1865 Commande de cinq locomotives pour "Great Eastern Railway"
1866 Livraison des premières locomotives françaises à l'Angleterre.
1867 14 hauts-fourneaux sont en feu!
1867

Exposition universelle : la réussite est énorme. Les établissements Schneider couvrent, une superficie qui dépasse 120 hectares, dont plus de 20 hectares en bâtiments industriels. Les mines de Mazenay et de Change fournissent 300 000 tonnes de minerai de fer par an, la houillère du Creusot 250 000 tonnes de charbon. Le coke est produit dans une batterie de 160 fours. Les hauts fourneaux, au nombre de 15, produisent annuellement 130 000 tonnes de fonte. Une nouvelle forge, construite pour une production annuelle de 200 000 tonnes, contient 150 fours à puddler, 85 fours à réchauffer, 41 trains complets de laminoirs et 30 marteaux-pilons : elle fournit 110 000 tonnes de fers et de tôles. Les ateliers de constructions renferment 26 marteaux-pilons et 650 machines-outils. Le personnel comprend environ 10 000 ouvriers.

1869 Acquisition des concessions houillères de Decize (8 000 ha) de Montchanin et Longpendu (2 500 hectares).
1869 Construction de la première cheminée en tôle.
1870 Mise au point du procédé Martin et introduction de la première aciérie Bessemer.
1870 Grève de 5 jours à propos de la gérance de la caisse de secours, problème soulevé par les républicains Félix martin et JB Dumay.
1873 Construction de l'aciérie Martin (6 fours à acier de 8 tonnes).
1873 Constitution d'un groupe scolaire cohérent comprenant 4 écoles élémentaires et une "école spéciale" pour l'élite des garçons.
1874 Acquisition des mines de fer d'Allevard.
1875 Mort de J-Eugène Schneider.
1876 Installation du marteau-Pilon de 100 tonnes  le plus puissant du monde (21m de hauteur).
1877 Création d'une caisse de retraite pour la Vieillesse
1879 Début de la fabrication de l'acier Bessemer basique.
1887 Création d'une Maison de Retraite.
1888 Edification des ateliers d'artillerie et aménagement du "polygone de tir" de la Villedieu.
1889 Henri Schneider est élu député d'Autun (2e circonscription).
1890 Mise en place d'une presse hydraulique à forger de 2000 tonnes.
1892 Installation d'une fonderie d'acier autonome.
1894 Inauguration de l'Hôtel-Dieu du Creusot (15 septembre 1894).
1894 Construction d'un tunnel pour relier les Aciéries à la Forge.
1896 Mise en place d'une presse hydraulique de  10 000 tonnes pour comprimer les lingots d'acier à l'état liquide.
1897 Mise en oeuvre de nombreux développements sur le territoire français : Le Havre (artillerie), Champagne sur seine (Electricité), Gironde (constructions navales), Hyères (torpille), Toulon (submersibles), ...
1899 Importants mouvements sociaux, grève généralisée (à peine 300 ouvriers sont au travail) première prise de conscience ouvrière ...Création d'un syndicat ouvrier le 30 mai qui recueille 6000 adhésions. Installation du mur d'enceinte du parc de la Verrerie!
1902 Création de la société Parisienne pour l'Industrie Electrique (SPIE).
1905 Première locomotive électrique à redresseur.
1906 Création de l'école ménagère du Creusot.
1916 Embauche des femmes en remplacement des ouvriers partis au front
1922 A partir de mars production de UNE locomotive par jour.
1929 Constitution de la société Le Matériel Electrique Schneider & Westinghouse.
1933 Arrêt de la production de locomotives  à vapeur.
1934 Accords entre le Matériel Electrique S.W. et Merlin Gerin.
1937 Nationalisation de l'industrie d'armement : arrêt de la production d'armement.
1939 Les usines sont réquisitionnées par l'occupant : la production chute volontairement et les usines tournent au ralenti. Des sabotahes ont lieu sur les locomotives en cours de fabrication.
1942 Premier bombardement allié en octobre par 94 bombardiers de la Royal Air Force.
1943 Deuxième bombardement le 20 juin, plus violent cette fois (250 tués à l'usine même). la population passe de 29 000 à 14 000. 
1944 Henri Stroh, directeur des usines est déporté à Buchenwald en représaille de la résistance à l'occupant allemand.
1944 Création d'une section d'aides familiales (aide à domicile des mères de famille).
1949 Schneider et Cie devient une Holding gérée par Charles Schneider et regroupant 3 entités : la SFAC (Société des Forges et ateliers du Creusot), la CITRA (Compagnie Industrielle de Travaux) et la Société générale française des mines.
1955 La BB 9004, produite par la SFAC, pulvérise le record du monde de vitesse avec 331 km/h.
1956 Naissance de JF Gajewski (si vous lisez cela, envoyer moi un E mail)
1957 Naissance de Claudie Andre-Deshays
1960 Charles Schneider, dernier membre de la famille à assurer effectivement la direction du Groupe, meurt accidentellement. Prise de participation du Groupe Empain dans le capital de Schneider à hauteur de 25 %.
1964 Fusion de la société du Matériel Electrique Schneider-Westinghouse et des Forges et Ateliers des Constructions électriques de Jeumont au sein d'une nouvelle société, Jeumont-Schneider.
1968 Fusion de la société de Construction des Batignolles (Schneider) et de Spie (Empain) au sein d'une nouvelle société, Spie Batignolles.
1970 Naissance de Creusot-Loire par la fusion de la S.F.A.C. (Société des Forges et Ateliers du Creusot) et de la C.A.F.L. (Compagnie des Ateliers et Forges de la Loire).
1971 Le baron Edouard-Jean Empain prend la présidence du groupe Empain-Schneider qui regroupe les sociétés Framatome, Creusot-Loire, Jeumont-Schneider, Cerci, Citra, Spie-Batignolles.
1972 Ouverture au public du parc de La Verrerie.
1980 Le 8 décembre 1980, Didier Pineau-Valencienne est nommé Vice-Président Directeur Général du Groupe Schneider. Le baron Empain cède l'ensemble de ses participations. Le groupe Empain-Schneider redevient le groupe Schneider.
1984 Le 28 juin 1984, Laurent Fabius, ministre de l’Industrie annonce au journal de 20 heures d’Antenne 2 le dépôt de bilan de la société Creusot-Loire. Le 12 décembre de la même année, le tribunal de commerce de Paris amorce la liquidation de biens et les syndics sont autorisés à traiter à forfait avec Framatome et Usinor. Creusot-Loire est démantelé ...
1984 Les manifestations de soutien aux salariés des différents sites se multiplient pour demander des explications. Le 21 juin, 5.000 personnes sont présentes devant la porte de l’usine pour un meeting intersyndical et une visite symbolique des ateliers.
Huit jours plus tard, une autre manifestation réunit près de 8.000 personnes.
Puis du 12 septembre au 18 octobre, on assiste à une série de manifestations pour le dialogue avec le gouvernement et la défense des emplois : les gares T.G.V. du Creusot, puis celles de Chagny et de Louhans, enfin l’A6 et la RN6 sont occupées. La sous-préfecture de Chalon également.
1985 Jeumont-Schneider reprend l’Unité Traction, Usinor la Sidérurgie par sa filiale C.L.I. (Creusot-Loire-Industrie), Framatome les divisions Energie et Chaudronnerie-soudage.
La société GESSIC est créée par les trois entreprises précitées : elle est chargée de gérer les moyens de l’indivision, tels que les infrastructures routières, ferrées..., le gardiennage, les réseaux d’électricité, d’eau, de téléphone, etc.
La société Herlicq reprend les établissements des services travaux (SERTRA) : ateliers couverture-charpente, garage, bois...
L’agence Decobecq reprend la filiale Creusoteg spécialisée dans les Etudes.
1987 Face à la sidérurgie en crise, le Groupe Schneider se recentre vers les biens d'équipements électriques.
1992 Fusion-absorption de Merlin Gerin. Cession de Jeumont-Schneider Industries à Framatome.
1990
2000
Constitution d'un pôle universitaire : IUT, Centre Condorcet (étudiants de la Saône et Loire et de la Nièvre) - actuellement la plus importante délocalisation de premier cycle de l'Université de Bourgogne (DEUG SCIENCES, AES et STAPS) - Bibliothèque universitaire
2001 Centenaire de l'ESPERANCE du CREUSOT
2001 Championnats de France Cadets-Epée

Pour en savoir plus ...


Haut - Le Creusot en chiffres - Bas

(A compléter, je compte sur vous pour m'aider !)


1

Le nombre de siècle d'existence de l'ESPERANCE

10

Le nombre de présidents de l'Espérance depuis un siècle

16

Le nombre d'années de présidence de G.NECTOUX

71

Le département de saône-et-Loire

100

L'âge de l'Espérance

280

Le nombre de victoires en championnat de Bourgogne

319

La distance (en km) à Paris

353

L'altitude à la gare

1837

L'arrivée de la dynastie Schneider au Creusot

1901

L'année de création de l'Espérance

26500

Le nombre d'habitants en 1999

...



Haut - Le Symbole de la ville - Bas


Nul doute que la ville est marquée définitivement par son glorieux passé sidérurgique et par la famille SCHNEIDER. Symbole de cette puissance, la machine inventée en 1837 François BOURDON (voir Académie ...) le célèbre MARTEAU-PILON. La machine inventée à cette date ne fait que 2,5t : elle est actionnée par la vapeur. Bourdon, décédé en 1875 ne verra pas l'aboutisement de sa vie.

En 1876, les usines Schneider se dote d'un marteau-Pilon de 100t qui deviendra le symbole définitif de la ville. La machine infernale culmine à près de 21 mètres. elle repose sur des fondations de 8,5 m. l'intérêt de cette machine réside dans sa capacité à forger des pièces immenses avec une précision étonnante. Ne dit-on pas que le marteauu-pilon était capable de casser délicatement une noix, ou d'enfoncer le bouchon d'une bouteille de vin, grâce à la dextérité de son conducteur, et à la finesse de son pilotage.En 1878, une maquette du pilon fut exposée à l'exposition universelle, face au pavillon du creusot, symbole de l'industrie sidérurugique dominante.

Démonté en 1931 et remisé, le pilon fut offert à la ville en 1969, et installé au carrefour sud de la ville (Place du 8 mai 1945). Avis aux amateurs !

Pour en savoir plus ...

le nouveau logo

A l'époque du fer ...

les armoiries




"Fac ferrum, fer spem"
travaille le fer, porte l'espoir

Le symbole de la ville


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